Oui à un Dieu, non à une religion ?

Le premier réflexe moderne est de balayer les religions traditionnelles marquées par les failles et les erreurs de leur passé ou de leur extrémisme. Cette réaction est digne de notre liberté... Et cependant, certaines personnes proches ou idéales (Mère Thérèsa, Abbé Pierre...) nous interrogent justement sur ces religions. Plutôt que de se tourner vers des sectes ou du « sensible-sprituel », il peut être plus sage de passer au delà de l'apparence et de rechercher ce qui fonde ces religions anciennes dont la valeur s'est affinée à l'épreuve du temps.

 Les religions anciennes ?

Cette interrogation est proche du savoir. Elle consiste à s'interroger sur ces religions qui justifient des actes aussi admirables, des valeurs si hautes.

On y apprend alors que le Livre, la Bible, raconte l'histoire similaire des chercheurs de Dieu.

On y voit Abraham, le premier patriarche qui aie fait l'acte de croire dans le sens défini plus haut de faire confiance à un Autre.

On peut y rencontrer aussi, au bout d'un long chemin du peuple de Dieu (Ancien testament) un homme nommé Jésus et qui personnifie ces valeurs auxquelles on souhaite adhérer...